lyrics
Un ciel grisâtre sous lequel les pluies de larmes m’entraînent
Des phares aveugles se bousculent en bouillies de larves mondaines
Entends-tu mon enfant, les cris de douleur qui t’étrennent ?
Ton hémorragie érectile peine à te vivifier pérenne
Sors de ton cocon, co-
Prophage, il n’y a pas d’âge
Les Passions rêvées, primitives si fragiles
L’Achèvement, l’Avenèment, l’Apothéose hérétique
Du trône des larbins, mes scissions hermétiques
Perles de semence pendues à ma langue-de-bois si futile
Une sentimentale caresse le long de ton dos envoûté
Une réminiscence des plaisirs que nous n’avons pas goûtés
Un bordel, des jambes ouvertes, une partie de portes fermées
Fêlure judiciaire, mains en l’air, qui pensiez-vous arrêter
Vous pensiez stopper le raz-de-marée psychotique
Qui fume par mes yeux et coule de mes oreilles oniriques
Vous criiez sur votre transat’, en marées-sueurs-panégyriques
Je vous souhaite la bienvenue sous le soleil des psycho-tropiques
Sors de ce sale con humide
Hûme ma propre amertume, tu me
Détruis, Tumeur
Meurtrière,
Souhaitez-vous régler en
Cheval de Troie fois sans frais
Passions rêvées, primitives si fragiles
L’Achèvement, l’Avènement, l’Apothéose hérétique
Du trône des larbins, mes scissions hermétiques
Perles de semence pendues à ma langue de bois si futile
Coule, coule, coule
En désastres mondiaux
Des astres odieux, des crimes d’aurore
Décape au mieux les cimes d’opprobre
Coule, coule, coule
En litiges royaux
Des astres odieux, des cimes d’aurore
Décape au mieux les crimes d’opprobre
Servant tes esclaves,
Dominant tes maîtres
Tu te retournes et brises les chaînes
D’une autocratie insalubre,
Petite chienne
Tu n’es plus, non
Tu ne te ressens plus
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